CITATIONS #12

Liberté, patience, attente, espoir, gourmandise, bonbon sucre d'orge et chocolat
et... je vais faire une petite mention spéciale a "Violette".... qui est sorti comme ça et qui me plaisait bien, pour le coup...

Alors commençons :

Patience attente, espoir :

On place toujours un espoir fou dans un homme nouveau. On attend de lui le miracle qui ne vient jamais
Jean Marie ROUART

Certains attendent que le bonheur vienne frapper a leur porte.
Moi je laisse la porte ouverte.
Jacques SALOME

« Les bons amis t’aident à retrouver des choses importantes
lorsque tu les as perdues, ton sourire, ton espoir et ton courage. »
Doe Zantamata

Liberté :

En vous laissant le libre choix de vos opinions, je n’admettrai jamais qu’elles s’opposent aux miennes.
Francis BLANCHE

Ma seule liberté est de rêver, alors je rêve de liberté.
Benoit GRANGER

Les hommes libres peuvent partir et quelquefois ils restent. Voila la plsu belle preuve d’amour : prendre la liberté de rester alors qu’on pourrait s’en aller.
Camille LAURENS

gourmandise, bonbon, sucre d'orge et chocolat :

La première fois que je suis allé dans une bibliothèque publique, j'ai eu l'impression d'être un gamin qui rentre dans une confiserie où tous les bonbons seraient gratuits.
Craig THOMPSON - Blankets, Manteau de neige

Franchement, je voudrais bien savoir comment on lit dans les astres qu’il ne faut pas abuser du chocolat. Je ne crois pas que Pluton ou Jupiter puissent me dire ce que je dois manger et ceux qui prétendent le contraire sont au minimum des charlatans.
Gilles LEGARDINIER – Demain j’arrete

Lécher sa vie comme un sucre d’orge, la former, l’aiguiser, l’aimer enfin. Là était toute sa passion. Cette présence de lui-même à lui-même, son effort désormais était de la maintenir devant tous les visages de sa vie, même au prix d’une solitude qu’il savait maintenant si difficile à supporter. Il ne trahirait pas. Toute sa violence l’y aidait et le point où elle le portait, son amour l’y rejoignait comme une furieuse passion de vivre.
Albert Camus

Ca me rappelle quand tu insistais pour que je prépare une tasse de chocolat chaud pour le Père Noêl, et qu’on allait tous les deux la poser comme un objet sacré sur le rebord de la cheminée, juste avant d’aller se coucher. Le lendemain, elle avait été bue a moitié, et je croyais dur comme fer que le Père Noël s’était délecté de mon chocolat chaud. J’adorais ça, et dès que j’ai eu l’age de comprendre le subterfuge, j’ai continué a aimer l’idée.
Mathias Malzieu – Maintenant qu’il fait tout le temps nuit sur toi